aboutsummaryrefslogtreecommitdiff
path: root/Page/Levres.html
diff options
context:
space:
mode:
authorJoris Guyonvarch2015-06-27 22:47:31 +0200
committerJoris Guyonvarch2015-06-27 22:47:31 +0200
commitc5de925c6d1bc6a81f318b4473e9882f74160599 (patch)
tree4a04fe3e8391ae06ad46c306aa68e6213f675b97 /Page/Levres.html
parent3ff7b48ed41e1d49c18388403a85c6d1debf8bb3 (diff)
Just one write for each generation page
Diffstat (limited to 'Page/Levres.html')
-rw-r--r--Page/Levres.html6
1 files changed, 2 insertions, 4 deletions
diff --git a/Page/Levres.html b/Page/Levres.html
index 190211b..99c34bb 100644
--- a/Page/Levres.html
+++ b/Page/Levres.html
@@ -74,8 +74,7 @@
</nav>
</header>
- <div id="content">
-<h1 id="brin-de-culture-les-meilleures-citations-sur-nos-lèvres">Brin de culture : les meilleures citations sur nos lèvres</h1>
+ <div id="content"><h1 id="brin-de-culture-les-meilleures-citations-sur-nos-lèvres">Brin de culture : les meilleures citations sur nos lèvres</h1>
<blockquote>
<p>« Ailées cueilleuses de miel, pourquoi donc est-ce toujours le thym blanc et les roses, et la rosée de nectar de la violette vernale que vous butinez, ou la fleur de l'aneth qui répand au loin ses effluves ? Venez toutes vers les <strong>lèvres</strong> de ma maîtresse. Elles sentent toutes les roses et tout le thym à elles seules, et le suc de nectar de la violette vernale. » - <em>Jean Second, Le Livre des baisers, 19, début XVIe s.</em></p>
</blockquote>
@@ -84,8 +83,7 @@
</blockquote>
<blockquote>
<p>« Je ne l’entendais pas, tant je la regardais / Par sa robe entr’ouverte, au loin je me perdais, / Devinant les dessous et brûlé d’ardeurs folles : / Elle se débattait, mais je trouvai ses <strong>lèvres</strong> ! / Ce fut un baiser long comme une éternité / Qui tendit nos deux corps dans l’immobilité / Elle se renversa, râlant sous ma caresse ; / Sa poitrine oppressée et dure de tendresse / Haletait fortement avec de longs sanglots. / Sa joie était brûlante et ses yeux demi-clos ; / Et nos bouches, et nos sens, nos soupirs se mêlèrent / Puis, dans la nuit tranquille où la campagne dort, / Un cri d’amour monta, si terrible et si fort / Que des oiseaux dans l’ombre effarés s’envolèrent. » - <em>Guy de Maupassant, Des vers, Au bord de l'eau, 1880</em>.</p>
-</blockquote>
- </div>
+</blockquote> </div>
<footer>
<div class="contact">